Messieurs Dames, bonjour ou bonsoir
tout nouveau sur Seri-Suisse je pose ici quelques questions dans l'espoir qu'une personne puisse m'apporter s'il-vous-plait les réponses que je recherche.
Je suis graphiste depuis des années mais dans un tout autre domaine : le Web. Aujourd'hui, et ce depuis un an je réalise des visuels pour le textile, des tee-shirts essentiellement. Ainsi, j'apprends actuellement les merveilleuses techniques de la sérigraphie.
Cependant je n'arrive pas à bien saisir le rôle de la flasheuse. Dans de nombreuses vidéos, beaucoup de sérigraphes l'utilisent mais ici je ne vois pas d'endroits ou elle est mentionnée. De ce fait, pouvez-vous m'indiquer s'il-vous-plait son rôle exact dans le processus de fabrication ? Si elle sert de "fixateur" pour l'encre, alors à quoi sert le four ou le décapeur thermique ?
Également dans d'autres vidéos, j'ai pu constater que des professionnels passaient plusieurs coups de racle quant à l'encre. Dans la grande majorité des cas, il est souvent conseillé d'en faire deux au maximum. Qu'en est-il ? Quelle est la vérité ? Ou se trouve le droit chemin ?
Messieurs, Dames, c'est avec grand plaisir que je vous écrits ce message, j'espère que vous trouverez autant de plaisir à le lire (et dans la mesure du possible d'y répondre
Cordialement.
N
Role de la flasheuse
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Re: Role de la flasheuse
je pense qu'en tant que graphiste, il y a des points plus intéressant à aborder, des points techniques qui t'aideront dans la création du graphisme en prenant en compte les contraintes de la sérigraphie.
Sinon le flash sert à sécher EN SURFACE l'encre pour que l'impression de colle pas sous le cadres suivant. Plus l'encre est pigmentée, plus le flash est indispensable. Mais sur des encres moins chargés en pigment on peut faire mouillé sur mouillé et s'en passer. Il n'y a pas un cas unique, alors il faut s'adapter.
Ça ne remplace en rien le tunnel de séchage.
plusieurs coups de racle --> l'idéal c'est un coup de racle, car tu gagnes facilement 3-4 secondes par cycle, donc plus de pièce à l'heure. Plusieurs coup de racle compensent un problème technique la plupart du temps (mauvaise enduction du cadre, encre mal préparée, mauvais choix de maille etc...)
Voila.
Sinon le flash sert à sécher EN SURFACE l'encre pour que l'impression de colle pas sous le cadres suivant. Plus l'encre est pigmentée, plus le flash est indispensable. Mais sur des encres moins chargés en pigment on peut faire mouillé sur mouillé et s'en passer. Il n'y a pas un cas unique, alors il faut s'adapter.
Ça ne remplace en rien le tunnel de séchage.
plusieurs coups de racle --> l'idéal c'est un coup de racle, car tu gagnes facilement 3-4 secondes par cycle, donc plus de pièce à l'heure. Plusieurs coup de racle compensent un problème technique la plupart du temps (mauvaise enduction du cadre, encre mal préparée, mauvais choix de maille etc...)
Voila.
- ringostare
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Re: Role de la flasheuse
pas mieux !
je préciserai juste que le flash est un sécheur intermédiaire, à utiliser entre deux couches d'encre
le tunnel est pour une cuisson finale de l'encre.
je préciserai juste que le flash est un sécheur intermédiaire, à utiliser entre deux couches d'encre
le tunnel est pour une cuisson finale de l'encre.
Re: Role de la flasheuse
Voila de la réponse jgabby ! Merci !
La flasheuse joue pleinement son rôle quand il s'agit d'une sérigraphie à plusieurs couleurs. Dans le cas d'une monographie, elle peut être facultative. Me voila rassuré ! Merci encore !
J'ai vu un peu les spécificités techniques quant à la réalisation du visuel en vue d'une sérigraphie, demi-teinte, séparations des différentes couches de couleurs etc... Je me confronterais à ces joies lors de mes futures aventures sérigraphiques. Pour le moment, commençons tout doux avec une monographie, les possibilités restent encore immenses.
Merci ringostare pour la confirmation de ces informations !
La flasheuse joue pleinement son rôle quand il s'agit d'une sérigraphie à plusieurs couleurs. Dans le cas d'une monographie, elle peut être facultative. Me voila rassuré ! Merci encore !
J'ai vu un peu les spécificités techniques quant à la réalisation du visuel en vue d'une sérigraphie, demi-teinte, séparations des différentes couches de couleurs etc... Je me confronterais à ces joies lors de mes futures aventures sérigraphiques. Pour le moment, commençons tout doux avec une monographie, les possibilités restent encore immenses.
Merci ringostare pour la confirmation de ces informations !